Les soins qu'ils prodiguent, la solidarité dont ils font preuve, au quotidien, et dans l'anonymat, tombent trop souvent dans l'oubli.
Vous soulignez fort à propos que notre reconnaissance est insuffisante et ne donne lieu qu'à des droits symboliques. Ces personnes font face au défi d'une population vieillissante et de plus en plus dépendante : c'est pourquoi la reconnaissance de nos aidants est un enjeu social et sociétal majeur, auquel nous devons répondre.