Mesdames, messieurs, chers collègues, je voudrais tout d'abord excuser M. Lescure, président de la commission des affaires économiques, retenu à l'étranger. Je salue Mme Beaudoin-Hubiere, vice-présidente de la commission, qui le supplée en séance. Je remercie en outre M. le ministre de la cohésion des territoires pour sa présence en cette fin de journée.
Nous abordons, entre chien et loup, la question majeure des marchands de sommeil. Oui, les loups sont entrés depuis bien longtemps dans Paris.