Si aucune solution n'est trouvée rapidement, la société Doux risque la liquidation pure et simple. Cette funeste issue serait un drame humain ; ce serait extraordinairement douloureux pour des familles entières comme pour tout le territoire finistérien, pour tout le territoire breton.
Depuis des semaines, des négociations sont en cours, à la suite notamment des marques d'intérêt manifestées par le groupe ukrainien MHP. Derrière son président Loïg Chesnais-Girard, le conseil régional de Bretagne est mobilisé aux côtés des travailleurs, des éleveurs, des organisations syndicales et des services de l'État.
Monsieur le Premier ministre, dans ce contexte que veut – et que peut – le Gouvernement ? Comment agir pour sauver cet acteur majeur de la filière volaille, pour sauvegarder l'outil industriel et les savoir-faire, pour préserver l'emploi des salariés, ainsi que l'activité des éleveurs ?