Si, j'y crois ! Je le répète : en Martinique, nous créons des postes dans le premier degré, et les suppressions dans le second degré sont bien moindres qu'au cours des années précédentes. Ce qui compte, maintenant, ce sont les enjeux qualitatifs. C'est ce que j'ai constaté lorsque j'ai visité l'académie de Martinique ; c'est crucial pour les élèves qui passent le baccalauréat général, afin qu'ils réussissent leur entrée dans l'enseignement supérieur, et pour les élèves qui passent un baccalauréat professionnel, afin qu'ils réussissent leur insertion professionnelle.
Dans les mois et les années à venir, nous allons donc renforcer le second degré sur le plan qualitatif, avec des formations propres à assurer l'insertion des élèves. C'est le sens de la politique menée par le nouveau recteur, Pascal Jan, que vous avez cité. Je suis optimiste pour la Martinique, et prêt à travailler avec vous pour dessiner ensemble l'avenir de cette académie.