Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le vice-président de la commission mixte paritaire, madame la rapporteure, mes chers collègues, ces Jeux olympiques devaient être une occasion historique pour le peuple français – rassemblé, et uni aux nations venues de tous les horizons – de développer et de démocratiser la pratique sportive dans notre pays. Certes, moi-même et mon groupe n'étions pas favorables à l'organisation de ces Jeux olympiques, du moins sous les actuels auspices des sponsors et de l'argent roi.
Nous souhaitions des Jeux plus proches, en somme, de l'esprit des Olympiades populaires de Barcelone en 1936 que des géants de la publicité et des promoteurs immobiliers.