Cet amendement ne dit pas que rien n'est fait puisqu'il suggère que « le plan de lutte s'appuie sur le bilan des actions menées antérieurement ». Il n'y a aucune contradiction avec ce que Madame la ministre nous a présenté.
Monsieur le rapporteur, je vous rassure : en tant que président du groupe d'études sur les discriminations et LGBTQI-phobies dans le monde, j'ai prévu d'inviter le chef d'état-major des armées. Les parlementaires se saisiront donc bien de la question.
L'amendement n'empêche en aucun cas le Parlement de faire son travail, et il ne met pas davantage en cause celui qui a été effectué jusqu'à maintenant au sein des armées : il vise juste à inscrire ces sujets dans la LPM comme une priorité.