Amiral, vous venez de rappeler que la marine française est présente en permanence sur presque toutes les mers du globe. Pour ce faire, elle doit pouvoir compter sur des escales, des bases pour se ravitailler, pour accueillir des nouveaux personnels et en faire partir d'autres. Comment voyez-vous évoluer ce réseau de bases, à la fois dans nos territoires d'outre-mer, comme à Nouméa et en Polynésie, et dans les points d'appui permanents que nous avons dans certains pays étrangers, par exemple à Dakar et Djibouti ?