Au-delà de cette précaution liminaire, j'aimerais souligner les ruses de Sioux de ce projet de loi. Je n'évoquerai pas ici celles et ceux qui ont changé de tribu et qui pourraient être gênés par tous les manquements que cette loi décrit en creux, fruits des renoncements des années écoulées. Mes pensées vont vers ceux qui occupaient d'importantes fonctions à l'Élysée, à Bercy, au ministère de la défense ou encore vers celles et ceux qui ont toujours voté le budget pendant cinq ans.