Ce n'est pas étonnant, me direz-vous : nous nous sommes barrés en 2011 ! Si nous avions eu un peu d'espoir et cru à l'avenir des printemps arabes, nous aurions au moins pu laisser un consulat ouvert… Mais non, non, non ! Nous sommes partis, rentrés en France.
Nous sommes à la recherche de notre influence perdue. Cette influence est aujourd'hui si éclatante que nous sommes incapables d'empêcher un génocide de plus, celui des Kurdes.