Notre allié turc est aujourd'hui un ennemi de nos valeurs : il enferme les journalistes, il enferme des maires en quantité, des milliers d'élus locaux, des députés parce qu'ils critiquent la politique turque ; il massacre nos alliés kurdes qui ont porté le fer contre notre ennemi, Daech. Rien que cela rend nécessaire le vote de ces amendements. À un moment donné, il faut que la représentation nationale porte un message en direction de la Turquie : « Vous ne pouvez pas continuer. Vous devez cesser cette politique. »