Certes, mais quand on écrit « pour agir au service de la paix dans le cas des résolutions de l'ONU », on l'oublie !
La troisième possibilité d'intervention est la protection de nos ressortissants – je pense par exemple aux Français qui vivaient en Côte d'Ivoire. Ce type d'opération est permis par la coutume internationale : en effet, nous sommes parfois amenés à intervenir avant même que l'ONU ne se soit prononcée, dans un cadre tout à fait légal.
J'aimerais donc qu'on mentionne ces trois éventualités et qu'on ne se limite pas aux résolutions du Conseil de sécurité.