Revenons sur la définition même de l'investissement direct étranger (IDE). Vous avez indiqué, monsieur le directeur général, que Business France ne s'occupait pas de fusions-acquisitions, mais celles-ci entrent pourtant dans le champ des IDE qui incluent bien la création d'une activité en France, le développement d'une activité en France et la prise de contrôle d'une entité économique française. Du coup, les IDE peuvent être vus plus ou moins favorablement selon les situations. Certes, une fusion-acquisition peut être considérée avec optimisme mais c'est une réalité un peu différente. Disposez-vous d'outils statistiques pour appréhender ces réalités différentes ?