La Banque de France recense les entrées de capitaux. Pour sa part, Business France se consacre au traitement microéconomique de projets identifiés, pour la plupart des projets greenfield, c'est-à-dire des créations d'activité, et, de manière encore trop subsidiaire – nous y réfléchissons –, des projets de rachat. Évidemment, en cas de rachat, se posent les questions « Par qui ? » et « Pour quoi ? »
Entre autres objectifs assignés par l'État figure celui d'atteindre un pourcentage significatif de projets aboutissant à une création de centres de R&D, de projets intéressants en termes de créations nettes d'emplois, et de projets conduisant à l'installation en Europe d'un quartier général de l'entreprise concernée. Demain, à notre conseil d'administration, nous rendrons d'ailleurs compte à nos tutelles de notre activité des trois dernières années. Nous considérons donc les investissements par le prisme des entreprises non celui des flux financiers.