Il est effectivement très difficile de faire la distinction, et, comme l'a indiqué M. le directeur général, nous nous concentrons vraiment sur les projets créateurs d'emplois, dans une logique microéconomique. Évidemment, nous avons interrogé les spécialistes, car nous souhaitions nous aussi pouvoir faire le distinguo, mais c'est très compliqué : il suffit de quelques très grosses acquisitions pour qu'un pays soit considéré comme l'un des plus gros investisseurs étrangers – par exemple, en 2016, la Finlande était l'un des plus gros investisseurs étrangers en France, et vous vous doutez pourquoi.