Je suis bien d'accord, c'est un sujet de questionnement pour nous parce que cela ne figure pas dans le plaider-coupable dont M. Vigogne est signataire. À Washington, nous avons posé la question au procureur adjoint et au responsable des affaires internationales auprès de l'Attorney général, qui nous ont clairement répondu qu'ils ne voyaient pas à quoi M. Kron faisait allusion, et de même que rien ne s'opposait à ce qu'il s'exprime devant les autorités de son pays.