Frédéric Pierucci était employé par une société qui a été rachetée par General Electric. Le contentieux de Frédéric est donc aujourd'hui avec le groupe General Electric, qui exerce toute sa rigueur et n'a nullement l'intention, pour le moment, d'être clémente envers lui. Quant à Alstom, je pense que c'est à M. Henri Poupart-Lafarge qu'il faudrait poser la question, mais plusieurs centaines de milliers d'euros sont réclamés par son avocat, qui a agi en situation de conflits d'intérêts. Par ailleurs, l'assurance « directors and officers », qui joue normalement dans ce genre de situation, non pour payer la pénalité mais pour payer les honoraires d'avocat, n'a pas été actionnée par le groupe Alstom et je trouve cela incompréhensible.