De nombreux riverains de l'aéroport de Nantes-Atlantique soutenaient le transfert à Notre-Dame-des-Landes (NDDL) pour ne plus subir les nuisances sonores liées à l'activité aérienne.
Les médiateurs, dans leur rapport, estimaient que l'incidence sonore affectait, de façon importante, 3 500 à 6 000 riverains du site actuel.
Maintenant que la décision du maintien de l'aéroport actuel et de son extension a été prise, le projet doit s'accompagner de solutions en direction des populations riveraines. Des mesures sont envisagées pour réduire les nuisances lors de la future rénovation de l'aéroport de Nantes, notamment grâce, par exemple, à des changements de trajectoires de vol et des aides pour mieux isoler phoniquement les habitations. Ces mesures seront-elles suffisantes ?
Dans ce dossier sensible, comment allier l'augmentation de l'activité aérienne et une meilleure qualité de vie pour les habitants riverains ?