J'avoue, ma chère collègue, n'avoir pas saisi le sens de votre intervention, qui m'a paru totalement hors sujet. Peut-être avez-vous eu un appel téléphonique qui vous aura distraite, alors que nous avons déjà changé d'amendement ?
J'entends bien que la question nécessiterait plus de temps, mais nous voulons la poser. Monsieur le ministre, nous connaissons votre intérêt pour les neurosciences : rien, d'un point de vue scientifique ou pédagogique, ne légitime la séparation des garçons et des filles.