Nous voyons souvent la mention « dans des conditions économiquement acceptables » dans les documents de l'ASN. Cela peut laisser penser que des actions en matière de sûreté ou de sécurité seront menées ou non selon le coût auxquelles elles s'élèvent. La question que nous posons dans le livre – et nous saluons le fait que vous la posiez vous-même – est celle de l'opportunité de mener ces actions pour résoudre un problème de sûreté ou de sécurité, quel qu'en soit le coût. J'ai notamment en tête la question de la défense passive des piscines, sur laquelle nous devrons revenir. Le coût en est estimé entre 650 millions d'euros et 1,5 milliard. Est-ce programmé ou budgété ? À ce jour, je ne crois pas.