Vous n'avez pas répondu, monsieur le ministre, à la question de savoir si, oui ou non, lors de l'arrestation de M. Pierucci, le 13 avril 2013, les réseaux consulaires ont donné l'alerte ? Si d'aventure le vice-président d'une société américaine se faisait arrêter en France, j'imagine mal que l'ambassade des États-Unis à Paris n'en soit pas informée et ne transmette pas l'information à Washington dans les plus brefs délais. Si vous n'avez pas la réponse aujourd'hui, peut-être pourriez-vous nous la communiquer ultérieurement.