Monsieur le député, vous avez raison, il règne une confusion, parfois volontairement entretenue, sur ce qui se passe actuellement dans l'enseignement supérieur. On confond volontiers des universités bloquées et des amphithéâtres où ont lieu des assemblées générales et des débats argumentés.
Il est normal que de tels débats se tiennent dans les enceintes des universités. Ce qui est anormal, ce sont les violences, qui sont en train de se développer et qui ne sont pas toujours le fait des étudiants.