Ces associations contribuent à maintenir une solidarité et une chaleur humaine dans ces longs moments de détresse des proches.
Le temps qui passe sans nouvelles est insoutenable, et je comprends que les proches de Sophie Pétronin, comme d'autres familles dans une situation similaire par le passé, choisissent désormais d'exprimer publiquement leur détresse. Mais au-delà de cette détresse, c'est surtout leur détermination à pouvoir serrer leur mère, leur tante, leur amie dans leurs bras un jour prochain, demain, qui doit compter pour nous.
Madame la ministre, la France n'est pas elle-même tant qu'une de ses compatriotes est retenue loin des siens, contre son gré.