Nous allons tirer les leçons de ce qui a été fait s'agissant des sociétés d'autoroutes. Une erreur a été commise lors de leur privatisation : les concessions n'ont pas prévu la possibilité de revenir ultérieurement sur les tarifs.
Oui, je le reconnais bien volontiers, c'était une erreur. Mieux vaut éviter de faire deux fois la même. Nous allons donc la corriger : dans le cadre de l'opération visant ADP, nous rendrons possible tant une régulation qu'un contrôle, afin de ne pas laisser une concession, quelle que soit sa durée, perdurer avec des tarifs fixés une bonne fois pour toutes et sur lesquels il n'est pas possible de revenir.
Le 12/04/2018 à 10:17, jacques de felice a dit :
Cette réponse du ministre est malhonnête. Tout le monde SAVAIT que cette concession au privé était une escroquerie au moment de sa réalisation. Il suffit de relire les articles du moment. Réécrire l'histoire ainsi donne au discours de ce ministre sa véritable qualité : du vent mauvais pour tromper. C'est inadmissible.
À voir comment il se dérobe aux questions, son embarras est patent. Qu'il le dise: je ne sais pas, je ne suis qu'un intermédiaire qui ne peut s'engager, ...
Une question vient : a-t-il une politique ? Quels sont ses moteurs, ses buts ?
Au final à quoi sert cette séance ?
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