Je souhaite vous rassurer, madame Battistel : je suis bien volontiers prêt à reconnaître les erreurs et, surtout, nous sommes là pour les corriger.
Je ne répondrai cependant qu'un peu plus tard – je promets de le faire – à votre question concernant l'énergie, car sinon je risque de me faire reprendre par Mme la présidente.