Je veux bien que ses coûts de production continuent à être plus élevés de 30 % que ceux de la Deutsche Bahn, mais le jour où les trains affrétés par cette dernière arriveront en France et où ceux de la SNCF ne seront pas concurrentiels, cette situation affaiblira notre opérateur ferroviaire national.
La différence entre ceux qui veulent le conservatisme et nous est que nous croyons, nous, à l'avenir du service public de la SNCF.