Monsieur le député, vous semblez craindre que le rapprochement entre Naval Group et Fincantieri entraîne une perte de souveraineté. Je souhaite vous rassurer sur ce point. Il s'agit d'une alliance, non d'une fusion.
Cette alliance est portée par une volonté politique forte, partagée par la France et par l'Italie. L'objectif est de construire progressivement un leader européen de la construction navale, capable de faire face à la concurrence croissante des nouveaux entrants, notamment asiatiques, et de maintenir les capacités techniques et d'innovation au bénéfice tant des clients étatiques franco-italiens qu'à l'export.