Concernant le droit de communication accordé à la Haute autorité par la loi de 2013, nous avions souhaité, contrairement à ce qu'a fait le Sénat, qu'il soit élargi par rapport à 2013, mais ni absolu ni général. J'entends les arguments développés par les auteurs des amendements, qui reprennent les observations du président Nadal. Le Gouvernement préfère, par cohérence, s'en tenir au dispositif qu'il a proposé initialement. Nous avons été suivis sur ce point par la commission des lois. Avis défavorable.