C'est vrai, j'ai bien dit que ce n'était pas un militant de Greenpeace. Ce que je crains surtout, c'est que ce ne soient pas huit militants de Greenpeace qui passent le grillage, mais huit djihadistes rompus au combat en Syrie. En ce cas, les gendarmes ne descendent pas de la voiture, la piscine serait vidée aujourd'hui, personne ne pourrait s'en approcher et nous ferions face à un accident nucléaire très grave.