Ces monarchies et leurs fonds souverains prennent assez peu de participation à cette hauteur. Elles sont plus enclines à des investissements d'un niveau moindre, dits « de portefeuille ».
La part détenue par les non-résidents sous cette forme peut être significative. Une récente étude de la Banque de France sur les entreprises cotées, notamment celles qui composent l'indice CAC40, montrait qu'environ 45 % de leur capital étaient détenus par des non-résidents sous la forme, dans la très grande majorité des cas, d'investissements de portefeuille représentant moins de 10 % du capital. Seule une dizaine d'entreprises du CAC40 – certes, c'est tout de même significatif – sont détenues majoritairement par des non-résidents.