Les arguments avancés par notre collègue Jean-Michel Clément me semblent frappés au coin du bon sens. La vie privée et familiale d'une personne s'apprécie où que le conjoint ou concubin puisse se trouver, en France ou à l'étranger. Cette prise en considération ne saurait s'arrêter aux frontières. De ce point de vue, madame la rapporteure, cet amendement n'est-il pas justifié ?