Madame la rapporteure, je ne comprends pas votre réponse. Le texte que nous examinons est censé renforcer et garantir le droit d'asile. Or aucun texte ne proscrit le type de protection que nous proposons. Nous nous trouvons ainsi clairement dans une situation où il est possible de faire évoluer le droit français, en prenant une position qui pourra en inspirer d'autres.
Vous nous dites que nous respectons déjà le droit international. Mais heureusement ! Nous avons cependant ici l'occasion d'enrichir ces dispositions et de protéger mieux la famille et les enfants des personnes à qui une protection est reconnue.