Je suis entièrement d'accord avec Valérie Boyer et Raphaël Schellenberger. Que l'on approuve ou non l'objectif poursuivi, on ne peut que critiquer la rédaction de cet article. En quoi un certificat médical peut-il garantir l'existence d'un risque d'excision ? En constatant l'existence d'un clitoris ? Les bras m'en tombent, monsieur le ministre. Il faut vraiment que nous fassions évoluer cet article.