Jamais, je dis bien jamais, on n'aura consenti, dans l'histoire de la SNCF, un effort aussi soutenu. Ce geste aura aussi une traduction concrète puisqu'il permettra de rattraper en dix ans le sous-investissement passé. Plus d'investissement, c'est moins de problèmes techniques, plus de régularité et de sécurité pour les trains, et davantage de sérénité pour les voyageurs.
Mais l'État préparerait, dit-on, la fermeture des petites lignes, cette partie du réseau la moins fréquentée par nos concitoyens.