Le président de l'université a donc dû prendre une décision lourde et difficile : faire appel aux forces de l'ordre pour libérer ce bâtiment. Cette décision mérite d'être respectée, comprise et soutenue ; il s'en est d'ailleurs expliqué. L'intervention des forces de l'ordre était proportionnée à l'accomplissement de cette mission. Elle n'a jamais visé les assemblées générales qui se sont délocalisées dans le bâtiment en question.