Mes chers collègues, ça y est : nous en venons enfin aux articles qui traitent de l'ouverture du marché des services de transport ferroviaire de voyageurs. Nous verrons s'opposer, j'imagine, deux camps au sein de l'Assemblée : d'un côté, ceux qui se retrouvent dans des amendements identiques de suppression de l'article ; de l'autre, des députés prêts à discuter de l'ouverture à la concurrence.
Le fait est que, depuis la fin des années 80, le transport ferroviaire décline face à la concurrence de l'automobile et de l'avion. Contre ceux qui préconisent de ne rien faire, à savoir les idéologiques, …