Beaucoup de progrès restent à faire dans la pédagogie à l'adresse de nos électeurs, qui se prononceront notamment lors des prochaines élections européennes.
Je note d'abord une certaine condescendance, chez les défenseurs du secteur privé, à l'égard des partisans du secteur public. Il faudrait presque se taire lorsque l'on défend le public, ou le faire à voix basse, le murmurer.