Pour entendre la SNCF, il faut accepter le principe de réalité – sinon on se dit une nouvelle fois qu'on traitera le problème plus tard, on laisse s'accumuler une dette de 50 milliards d'euros, et on voit chaque jour la dégradation du service. Monsieur le député, quand j'étais enfant, et que j'allais de Marseille à Nice, je mettais vingt-cinq minutes de moins qu'aujourd'hui ! Voilà ce que l'on constate !