Fort de ce constat, le CNESCO propose plusieurs recommandations : articuler l'apprentissage de l'écriture avec celui de la lecture ; favoriser la collaboration entre élèves pour les activités liées à l'écriture ; stabiliser des orientations pédagogiques nationales claires et les évaluer pour en finir avec la succession d'orientations divergentes.
La maîtrise de l'écrit est nécessaire à la réussite scolaire et indispensable à la construction d'un parcours social et professionnel. Aussi, monsieur le ministre, comment le Gouvernement entend-il s'inspirer de ces recommandations…
Le 17/04/2018 à 19:34, Laïc1 a dit :
Au concours des professeurs des écoles, le coefficient des matières écrites est de 80, quand il est de 160 pour les matières orales, autrement dit l'Education nationale considère que l'oral est 2 fois supérieur à l'écrit : comment voulez-vous dans ces conditions qu'elle soit apte à défendre la cause de l'écrit ?
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