Je sais bien que nous sommes ici à l'Assemblée nationale et non au conseil de Paris, mais la question de la mobilité est régie par les codes des transports et de l'environnement, raison pour laquelle je vous interroge.
Tous les soirs, tous les matins, des dizaines de milliers de Franciliens et de Parisiens se retrouvent bloqués sur des axes archi-saturés. Alors que la France est quasi-embolisée par une grève à répétition, la voiture reste, pour des milliers de Franciliens, le dernier moyen de déplacement possible.