Il y a, en France, 36 000 décès prématurés à cause de la pollution de l'air. Or nous n'arriverons pas à régler ce problème par de simples mesurettes. Il faut non pas opposer les politiques des uns et des autres, mais les additionner, en laissant la possibilité aux collectivités territoriales d'expérimenter un certain nombre de dispositifs et de les évaluer ensuite. Je note toute de même que, si l'on en croit l'organisme indépendant Airparif, la qualité de l'air à Paris et en Île-de-France s'est améliorée en 2017, pour la première fois.