Il s'agit en effet d'une préoccupation exprimée par certaines organisations syndicales dans le cadre de la concertation que j'ai menée. Je répète que celles-ci ne sont pas forcément favorables au principe de l'ouverture à la concurrence, mais qu'elles ont accepté de délaisser les débats de principe afin de réfléchir à l'amélioration de la protection des salariés, dès lors que l'ouverture à la concurrence doit avoir lieu.
Cette préoccupation de l'application d'une convention collective ferroviaire de haut niveau, je la partage. L'avis du Gouvernement sur cet amendement est donc favorable.