Je réaffirme à nouveau l'attachement du Gouvernement à ces lignes qui irriguent nos territoires. Je pense que cet amendement no 24 serait de nature à susciter des inquiétudes en accréditant l'idée que l'État pourrait vouloir se délester de ces lignes au détriment des régions – ou à leur profit, je ne sais ce qu'il faut dire.
Comme l'a dit M. le rapporteur, il est déjà possible que les gestionnaires d'infrastructures soient conventionnés. Je pense qu'il ne faut pas aller au-delà, car, ce faisant, nous enverrions un très mauvais signal sur l'intérêt que nous portons à ces lignes, vitales pour beaucoup de nos territoires. Avis défavorable donc.