En effet, on nous renvoie souvent au coup d'après. Lorsque nous formulons des propositions, vous nous répondez – cela m'est arrivé ; cela nous est arrivé à tous ou presque de ce côté de l'hémicycle, et de l'autre aussi sans doute – qu'on le fera plus tard parce que cette discussion doit intervenir ultérieurement dans le calendrier que vous avez imaginé ou fixé. En l'espèce, il y a une proposition sur la table, et vous avez la possibilité, en quelque sorte, de faire arriver ce train à l'heure. Dès lors, pourquoi ne pas le faire ?