Madame la ministre, vos explications sont surprenantes.
Je vous invite tout d'abord à plus de prudence lorsque vous évoquez le passé : c'est vous qui étiez conseillère aux transports de M. Lionel Jospin, ce n'est pas moi.
Je tiens également à répondre à M. Bonnell : comment ne serait-ce pas notre métier que de nous occuper de 36,5 milliards d'euros d'argent public, dont nous ignorons comment ils seront financés mais dont, demain, le contribuable devra s'acquitter ?