Vous avez créé il y a un peu plus d'un an au sein du CNES une direction de l'innovation et des applications, la DIA, qui concourt au développement à l'orientation de la recherche spatiale et donc à l'orientation de notre politique spatiale. Son champ de compétence intègre non seulement les systèmes orbitaux, mais aussi les sciences et l'environnement. Un an après la création de cette DIA, quel bilan faites-vous de sa valeur ajoutée pour le renforcement de nos capacités d'innovation et de notre réactivité dans un contexte de plus en plus concurrentiel ?