Ils ont regardé la proposition, et ont répondu qu'ils n'avaient pas envie de se marier avec nous mais de continuer seuls.
Votre troisième question reprenait un peu la première, monsieur le rapporteur : Où en serait-on aujourd'hui ? Je pense que l'entreprise aurait fait un des plans sociaux les plus dramatiques que l'on ait vu en France, qu'elle serait sans avenir. Au risque de choquer certains, je le dis de nouveau : cette opération a permis de sauver des milliers d'emplois en France et des dizaines de milliers d'emplois en Europe et dans le monde.