Je voudrais saluer non pas ce que Mme Obono qualifie elle-même de provocation, mais l'initiative de la présidente de la commission des Lois, qui nous a incités à nous rendre dans des centres de rétention administrative (CRA). Je crois qu'à peu près tous les députés de la majorité ici présents l'ont fait. Des collègues du groupe majoritaire continuent à effectuer de telles visites. Je ne suis pas convaincue que vous ayez passé davantage de temps en CRA. J'émets un avis défavorable.