C'est justement parce que nous ne voulons pas que cet état de fait s'accroisse que nous présentons ce texte. L'objectif est de savoir, en six mois, quelle est la situation des personnes qui pénètrent sur le territoire et demandent l'asile : celles qui y ont droit doivent être régularisées et les autres éloignées. Si nous en sommes là aujourd'hui, c'est que les décisions qui devaient être prises par le passé ne l'ont pas été. Nous sommes confrontés à des zones grises qu'il faudra bien finir par traiter. Pour le moment, il importe surtout d'adopter les mesures présentées ici.