Plusieurs députés présents ce soir se sont rendus avec moi à Niamey et à Agadez. Nous avons constaté les résultats du travail que nous menons ensemble. Agadez est cette ville au bord du désert que traversaient des centaines de milliers de migrants. Parce que nous travaillons avec le Niger et avec les pays de l'Afrique subsaharienne, le nombre de migrants à Agadez est passé de 300 000 à 60 000 aujourd'hui.
Nous ne posons pas d'ultimatum, comme vous venez de le faire ; nous ne cherchons pas, comme vous, à imposer notre loi.