qui a battu en brèche cette contre-vérité.
Ce texte ne répond pas aux besoins, mais à vos obsessions comptables et répressives, qui vous conduisent à des reculs sévères, tels le doublement de la rétention maximale, la réduction à quatre-vingt-dix jours pour déposer une demande à l'OFPRA, le maintien de ce que l'on appelle le délit de solidarité ou le placement des enfants en centre de rétention.
Monsieur le ministre d'État, vous avez cité Jean Jaurès, ce qui m'apparaît comme un affront, à la fois à sa mémoire et à ses combats.